Une maison, un monde.
Variations sur la solitude. Digne.
Cette série rend compte de la solitude inhérente à la condition humaine. Le symbole de la Maison devient miroir de l’humain. L’invisible protagoniste existe. Petit, simple et fort. Seul et entouré du vaste vertigineux où se fixe son regard. Dans cette série, il est question du souffle singulier dont nous héritons à notre venue au monde et de ce que nous nous sentons capable d’en faire. Il est aussi question du besoin de beauté.
Du doux et de l’ouvrage de vivre.
Un hommage à l’humain dans sa plus simple expression. Dans sa maison. Caché dans l’intimité de ses peurs, de ses croyances et de ses envies. En vie.
Du doux et de l’ouvrage de vivre.
Un hommage à l’humain dans sa plus simple expression. Dans sa maison. Caché dans l’intimité de ses peurs, de ses croyances et de ses envies. En vie.